Flavy
Qui suis-je ?

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Mon monde aujourd'hui Naufragé Tu ne me perdras pas... Mal intérieur
Rose pour elle Sans réponse Auprès de toi Tes larmes sont miennes
Premier amour Nuit d'amour Toi Fleur d'amour
Que suis-je ? Juste une seconde Sun Fruit de ton amour
Sea Je n'ai pas su.... Sur tes lèvres Le nouveau monde
Double vie 2 Double vie 1 Ange des cieux Qui sème l'amour...
Page blanche Veux-tu de moi, je suis sincère Pour que tu te souviennes... Mauvais rêve...
Dernier amour Revenaient, reviennent... Une vie...  

L'absence est une chose que personne n'envisage,
Ton silence un supplice et ses mauvais présages,
Le monde dans lequel je vis n'a plus aucune image,
Les rondes de mes nuits ne guettent que ton visage,

Comment deviner que tu me manquerais à ce point,
Dois-je accepter que notre histoire touche à sa fin,
Le monde dans lequel je suis est froid et sans teint,
Faut' il l'écrire, le feu que tu avais pour moi s'éteint,

Cette lumière intérieure est elle d'un " Autrefois ",
La pierre dans ton cœur a t'elle eu raison de moi ?,
Le monde dans lequel je vis n'a plus que le son de ta voix,
Et ceux de mon esprits vivent tous auprès de toi,

L'envie de te revoir laisse mon âme pensive,
Prisonnière d'un désir dont elle reste captive,
Ce monde où je survis est une douleur vive,
Seconde après seconde je sens le mal qui s'active,

Mes jours dans l'oublie n'ont plus d'autres odeurs,
Le parfum de ton haut rythme toutes mes heures,
Souvenir d'un sourire, d'un baiser, du bonheur,
Mon coin de paradis n'est plus qu'une pâle lueur,

Le monde dans lequel je vie est l'un de ces cauchemars,
Où toute notre vie l'on souhaite ne jamais s'y voir,
Mais dans ce monde de sursis je prie d'intimes espoirs,
En secret, je souffle doucement chaque soir,
Pour que ta flamme pour moi ne s'éteigne dans le noir,
Aujourd'hui encore, c'est en toi que je veux croire …
Flavy

Début de la page

Malgré tout le bonheur des cigognes qui passent,
Après les longs voyages, des hirondelles se lassent,
Les épreuves du temps s'accumulent et s'entassent,
"Que faire pour qu'à l'eau la cruche ne se casse ?",

Je ne voulais rien de plus petit papa Noël,
La magie de cette nuit était déjà si belle,
J'étais alors sapin, et toi mes étincelles,
"Qu'en est-il maintenant de mon cadeau du ciel ?",

J'ai découvert le sens d'une profonde harmonie,
Je pensais qu'être ensemble n'avait pas de prix,
Je souffre cette distance qui nous a désuni,
"Délivrez-moi du mal, de cette sorcellerie !",

De la neige est tombée alors que nous dormions,
Pendant l'obscurité pour décorer les maisons,
Nous étions bien au chaud dans nos draps en coton,
"Où est le doux cocon où nous nous enveloppions ?",

En aurais-je donc rêvé de notre nuit passée,
Inoubliables moments près de la cheminée,
Voyage imagé d'un couple Crusoé,
"Aujourd'hui je suis seul sur cette île isolée",

J'écris dans cette bouteille ces petits mots sincères,
Lui confie mon Amour pour qu'il traverse les mers,
Poussées par les vents chauds vers cet autre hémisphère,
Il sera ton duvet pour tes longues nuits d'hiver ...

... tu me manques ...
Flavy

Début de la page

Trop tard pour moi, je suis envoûté,
Mon coeur conquit et se laisse emmener,
Vers toi ma chérie, mon chat adoré,
Tu ne me perdras pas, n'aie crainte d'aimer,

J'aimerais posséder tout ce Temps qui passe,
Quand nous sommes ensemble, faire qu'il s'efface,
Etre son jongleur et mes balles des heures,
Tenir dans mes mains d'éternels bonheurs,

Regarde à deux pas, toute cette beauté,
Le ciel étoilé prend place au coucher,
Que puis-je espérer de plus merveilleux ?
T'avoir près de moi, rien de plus précieux,

Sens-tu ces légères essences salines,
Portées par les vents que l'océan signe ?
Savoure les baisers que je leur confie,
Avec mes pensées, désirs et envies ?

Entends-tu tout près les caresses des vagues,
Sans cesse léchant l'étendue de sable,
Prenons une poignée du temps que l'on nargue,
Car notre sablier est inépuisable,

Donne-moi la main, tu n'auras plus peur,
Au creux de ce lien, sens-tu la chaleur ?
Ferme alors tes yeux, ouvre- moi ton coeur,
Ecoutons le Feu, crépitante douceur ...,

Vois-tu aujourd'hui, cette mer en pensée ?
Revis-tu nos nuits, nos complicités ?,
Souvenirs lointains à l'autre bout de ce monde,
De "notre iceberg", "je ne veux pas qu'il fonde",

Ressens dans mes mots cette infinité,
Parcourant ces vents pour te retrouver,
Ils traversent le temps, les mers et contrées,
Pour te dire "je t'aime, mon Eternité ..."
Flavy

Début de la page

Jour après jour j'écoute tes mots qui me blessent,
Réponses sans doutes à mes défauts de promesses,
L'indifférence s'installe et devient ma maîtresse,
Mon mal est intérieur, je veux que cela cesse,

Ta vie est un enfer que je t'impose au quotidien,
Sursis d'un couple sur pause dont il ne restera rien,
Suis-je donc cette eau glacée pour qui le feu s'éteint ?
Mon mal est intérieur, je veux qu'il prenne fin,

Chacune de mes paroles est une maligne morsure,
La vérité est son venin, et Dieu sait qu 'elle est dure,
Dans la plus pure des sincérités, je serais l'ordure,
Mon mal est intérieur, je ne veux plus qu'il dure,

Maître d'un entracte synonyme de définitif,
Traîtres sont mes actes, plus que primitifs,
Notre Amour s'enlise un peu plus, dans l'affirmatif,
C'est mon mal intérieur, pourtant qu'il est vif,

Tu n'es pas responsable de ce qu'il nous arrive,
Elle m 'est insupportable, toute cette dérive,
Sache que j'ai conscience de ce dont je te prive,
Intérieur est mon mal, il faut que tu vives,

Redonne moi cette chance de ne plus être égoïste,
Pardonne que je pense à ce que tu ne sois plus triste,
Même si dans l'union mes mots seront contraires,
Mon mal est intérieur, tu ne dois plus t'en faire,

Souffre notre rupture le temps qu'il te faudra,
Pleure d'amertume les sens de mon choix,
L'Amour te mérite bien plus qu'à moi,
Mon intérieur est " mal ", mais c'est mon combat ...
Flavy

Début de la page

Peut-être devrais-je priver d'eau la rose,
Pour qu'une fois fanée elle se repose,
Peu à peu ton amour se métamorphose,
Au fil des jours la poussière se dépose,

Quelle est cette voix qui t'éloigne de moi,
Pourquoi toutes les nuits j'éprouve cet effroi,
M'aurais-tu menti et combien de fois,
Ma peur grandit grandi d'être un couple à trois,

Mon esprit est hanté de pensées pas sages,
Mon cœur se rempli d'une folle rage,
Dans ma tête défile un film, des images,
L'actrice principale n'a pas mon visage,

Quel est ce fantôme que je ne vois jamais,
Je sens sa présence, déjà je la hais,
Sommes-nous juste un nœud qui serait mal fait,
Est-elle ce futur qui nous déferait,

N'écoute pas les mots de celles qui te disent,
Que nos liens sont faux, que nos desseins s'enlisent,
Que mes doutes sont la preuve que je te méprise,
Car je ne suis que l'œuvre d'une femme éprise,

Comment discerner le faux de la vérité,
Retrouver dans tes yeux cette sincérité,
Mon cœur s'attache sur nos moments passés,
Car tes étreintes ne sont plus que formalités,

Notre belle histoire tourne au cauchemar,
Les pages du bonheur sombrent dans le noir,
J'espère trouver une issue sans savoir,
La raison de ces maux qui brûlent nos espoirs,

Penses-tu que notre couple est déjà vétuste,
Je suis seule avocate dans ce drame injuste,
Comment puis-je défendre une union à deux,
Alors que ton cœur bat pour d'autres feux ?,

Aujourd'hui, la vie se veut être voleuse,
Ton amour décide que je serais malheureuse,
Malgré tout notre rose reste merveilleuse,
Je verse des larmes sur tes pensées, rêveuse ...
Flavy

Début de la page

Quelles étaient les règles de ce jeu stupide,
Qui a mis entre nous cette distance, ce vide,
Pour quelles raisons n'as-tu pas fait signe,
Pourtant tu savais, j'aurais su t'être digne,

Ce n'est plus comme notre première fois,
Tu me regardes mais tu ne me vois pas,
Ne suis-je pas là quand tu as besoin moi,
Qu'est-ce qui a bien pu changer en toi ?

Mes paroles te paraissent-elles trop douces,
Pour qu'à chaque fois tu me repousses,
Ou mes sentiments sont-ils trop forts ?
Au point que j'en éprouve des remords,

En quoi les promesses de cet autre,
Sont-elles plus sincères que les nôtres,
T'ai-je trop aimé pour qu'en retour,
Tu fasses le sacrifice de mon Amour ?

Je t'en prie, ne laisse pas le doute en moi,
Suis-je responsable de tout cela ?
Quels sont tes désirs, que dois-je te dire,
Pour que tu puisses enfin me revenir ?

Le chemin tracé s'est couvert de ronces,
Mes derniers espoirs s'effondrent et s'enfoncent,
Certains de mes mots restent sans réponse,
Je ne peux plus t'attendre, alors j'y renonce,

Hier soir je me revoyais dans tes bras,
Un instant de bonheur qui ne finissait pas,
Hier soir encore j'ai voulu mourir,
Mes larmes mouillaient des souvenirs ...
Flavy

Début de la page

Veux-tu faire avec moi le tour de ce monde,
Découvrir notre bonheur sur la mappemonde,
Imprégner d'autres images et d'autres cultures,
Sur chacun des traits de ton visage si pur,

Les paysages imaginaires de notre petite enfance,
Deviendront la richesse de nos connaissances,
Tu seras ma lumière et je guiderai tes sens,
Car c'est dans tes yeux que mon voyage commence,

De l'océan Indien à l'océan Pacifique,
En passant par le Méridien et par l'Atlantique,
Du sud Péruvien aux Amériques nordiques,
Tu seras mon Asie, ma beauté d'Afrique,

Je t'en prie emmène moi dans ton pays natal,
Pour qu'un jour j'y dépose un bouquet de pétales,
Je remercie à ma façon cette terre si généreuse,
De t'avoir menée jusqu'à moi ma merveilleuse,

A mon tour je te ferai voir sur l'Ile aux Fleurs,
Tout ce qui importe au fond de mon coeur,
De ma première qui me manque et à qui je pense,
Jusqu'à mon tout qui n'envie que ta présence,

Chaque fois que nous volerons entre nuages et soleil,
Entre les teintes blanches et bleues de ce magnifique ciel,
Quand nous pourrons presque toucher ce bout d'Eternité,
Je te prendrai par la main pour y sceller notre destinée,

Je vivrai auprès de toi les journées au Pôle Nord,
Pour que tu te blottisses tout contre mon corps,
A la tombée de la nuit je te serrerai un peu plus fort,
Pour que dans ma chaleur tu ressentes combien je t'adore,

Sous les arcs lumineux des aurores Australes,
Je dessinerai sur ta peau des caresses matinales,
L'arc en ciel dans mon coeur est sentimental,
Ses couleurs brillent pour toi ma tendre Idéale,

Je veux être ta sève à l'aube de chaque jour,
Satiner de baisers tes lèvres de velours,
Les latitudes marqueront notre paisible parcours,
Nous tisserons sur ces lignes la toile de notre Amour ...
Flavy pour Florence

Début de la page

Combien de temps tiendras-tu sans savoir,
Combien de jours resteras-tu dans le noir,
Tu sais qu'il est le seul à avoir la solution,
Seul lui possède la réponse à ta question,

L'autre soir, dans les profondeurs de ton regard,
Sans aucun doute, j'ai aperçu le Désespoir,
Alors que je croyais l'avoir enfin asséché,
Les larmes de ton cœur ont surgi de mon passé,

Même si tu ne voulais rien laisser paraître,
Dans l'obscurité j'ai su la reconnaître,
Pendant un instant j'ai ressenti la Souffrance,
Dévoilée furtivement, et pourtant si intense,

Je repense à cette nuit où je l'ai laissé partir,
Mon silence, je n'ai pas insisté pour la retenir,
Mon Amour et tous mes mots lui étaient destiné,
Malgré cela je n'ai pas su lui dire de rester,

Dis-lui tout ce que tu veux qu'il sache,
Avant que les aléas du temps ne les gâchent,
Ces mots qui se cachent derrière tes sourires,
Taire tes sentiments ne te feront que souffrir,

Dans tes yeux tes larmes sont miennes,
Promets moi de lui dire quoi qu'il advienne,
Je t'en prie ne commet pas la même erreur,
Dis-lui qu'il est le seul qui fait battre ton cœur ...
Flavy

Début de la page

Les évènements sont toujours trop récents,
Quand il s'agit de ce que l'on ressent,
Devant l'Amour il nous faut vaincre l'inquiétude,
Dans le Désespoir, faire face à la solitude ...

Premiers regards, trac et béatitude,
Jeux de cache-cache et d'attitudes,
Des songes d'idylle nous traversent l'esprit,
Des signes où se reflètent nos envies,

Comme un portrait, je fixe la même image,
Des rêves où tous les paysages sont le même visage,
Des matinées accompagnées d'impatience,
Des journées où mes pensées vont dans le même sens,

Attendre encore, toujours attendre pour te voir,
Le temps se joue de moi avec son pouvoir,
Parce qu'entre nous il n'y a qu'un demi-pas,
Parce que les sentiments ne se commandent pas,

Vient alors l'échange des premiers mots,
Juste un "bonjour", bien plus qu'il n'en faut,
Ton sourire avait déjà fait son effet,
Je sais maintenant que ce monde est parfait,

Première rencontre, première sortie,
Un jour sous des auspices de magie,
Une histoire où nous sommes tous les deux,
Ce soir, peut-être qu'une fée réalisera nos vœux,

Le ciel étoilé de ces soleils de minuit,
Illumine dans tes yeux un univers infini,
File alors une étoile et sa longue traînée,
Finissant sa course sur tes lèvres, d'un baiser ...
Flavy

Début de la page

Plus tôt dans la nuit nos regards jouaient un jeu,
Tantôt de cache-cache, puis yeux dans les yeux,
Toutes nos étreintes faisaient de nous des créateurs,
Sur notre peau Feu et Eau naissaient de nos ardeurs,

Il est tard, la lune est sur le point de se coucher,
Depuis peu le sommeil est venu me remplacer,
J'admire les contours que forme ton corps dénudé,
Le mien frissonne encore de nos douces intimités,

Blottis sous la couverture qui nous emmitoufle,
Au creux de mon cou je ressentais ton souffle,
Petit à petit le rythme de ton cœur s'est ralenti,
Allongée sur moi, doucement tu t'es endormie,

J'ai contemplé ton départ pour le monde des rêves,
Mon seul désir était que ton songe m'enlève,
Je profite de ce que la vie m'offre de meilleur,
Comme cet instant auprès de mon petit cœur,

J'ai dénoué l'intime union que nous avions lié,
Sans faire de bruit pour ne pas te réveiller,
Je t'effleure de mes mains, une dernière caresse,
Mes larmes s'écoulent sur le lit de nos liesses,

Je dépose sur tes lèvres un baiser de coton,
Et me glisse hors des laines de nos passions,
A l'heure où la rosée fera son apparition,
Je survolerai l'océan vers une autre destination,

Mes pensées seront pour toi en Adoration,
Et lorsque le soleil se lèvera à l'horizon,
Notre Amour sera à nouveau uni dans la peine,
Je sais que tes larmes iront rejoindre les miennes …
Flavy

Début de la page

Sur ces heures qui passent et le Temps qui dure,
Les regrets prennent place telle la moisissure,
Je ne veux plus qu'atteindre ce point du futur,
Pour enfin éteindre le feu des blessures,

Solitude s'installe comme une famine,
Affamant mon cœur de sa vitamine,
Mon âme se meurt s'écroulant en ruines,
Où trouver du pain, j'espère, je m'obstine,

Et parce que la faim ne vient jamais seule,
Usant toute envie comme sur une meule,
Désespoir m'assoiffe de ma grande passion,
Dessèche mon esprit de toute sa raison,

Quand le ciel se voile de robes de tonnerres,
Frappant violemment les sols d'éclairs,
Quand les pluies battantes s'écoulent des paupières,
Quelle est cette chaleur qui sèche la terre ?

Et quand s'affaiblissent mes espoirs d'hier,
La mèche de bougie gît dans la poussière,
Perdu dans le noir des longues nuits d'hiver,
Au loin une lueur, d'où vient cette lumière ?

Cet horrible cauchemar revient et m'entraîne,
Dans l'obscurité profonde et malsaine,
Tous mes cris se perdent, mes larmes sont vaines,
Je reconnais cette voix qui me ramène,

Lorsque la rivière sort de son lit,
Et puis quant aux crues augmente son débit,
N'est-ce pas le même chemin qu'elle suit,
L'eau vers l'océan, moi vers ma chérie,

D'innombrables failles s'ouvrent sous mes pieds,
Des fleuves de laves déversent leur bûcher,
Et quand l'équilibre vient à me manquer,
Je ferme les yeux, plus que ta pensée,

N'est-ce pas interdit d'aimer aussi fort,
Personne ne le sait, du moins pas encore,
Rien ne lui est égal, ni argent, ni or,
Mon Amour pour toi est Conquistador,

Mon cœur est une terre déjà découverte,
Et il est sincère, c'est une lettre ouverte,
Tu es la contrée que je veux connaître,
Ce Monde Nouveau où je voue mon être,

Tous les cataclysmes, les désillusions,
Faim, soif, et regrets peuvent prendre possession,
De ma vie et l'offrir aux pires démons,
" Je t'aime " : cela jamais ils ne l'auront.
Flavy

Début de la page

Encore quelques pas à franchir,
Je suis décidé à tout te dire,
Tout en moi est en éveil,
Ma nuit passée était sans sommeil,

Je n'ai pas cessé de penser à toi,
Je te voulais tout contre moi,
Dans sa chrysalide le papillon bouge,
Mes prochaines roses seront rouges,

Tu es assise au même endroit,
Où je t'ai vue pour la première fois,
Je m'approche de toi mais j'ai peur,
Et si je n'étais pas dans ton cœur ?

Le doute commence à me prendre,
Peut-être devrais-je encore attendre,
Est-ce que les signes de notre passion,
Seraient le fruit de mon imagination ?

Je peux encore faire demi-tour,
Partir et revenir un autre jour,
Mais tu lèves les yeux et ton regard,
Tombe dans le mien : il est trop tard,

" - Hier soir j'ai compris en admirant le ciel,
La nuit tu es ma lune, le jour mon soleil,
Sur les étoiles tout ce que je voyais,
C'était ton visage, c'est à toi que je pensais,

Tous les poèmes que je voulais te remettre,
Au fond ils ont tous les mêmes lettres,
L'encre qui coule au bout de ma plume,
Reflète les désirs d'un feu qui s'allume,

Le sourire sur tes lèvres est comme l'Alizé,
Où mes baisers se laisseraient emportés,
Le vent souffle sur les voiles de mon cœur,
Et c'est vers toi que vogue mon bonheur,

Près de toi mon présent à le goût du futur,
Unissons nos desseins sur la même aventure,
Donne moi ta main, accorde notre destin,
Je graverais ton nom sur mes lignes demain,

Bâtissons ensemble un Château de pierre,
Dont les murs seront les souvenirs d'hier,
Le précieux trésor de notre demeure,
Sera une flamme qui jamais ne se meurt,

Les terribles tempêtes arroseront ses racines,
Et nos sentiments seront ses épines,
Jour après jour plus forte et plus belle,
La fleur de notre Amour deviendra Eternelle ... "
Flavy

Début de la page

Aujourd'hui tu me demandes ce que je ressens,
Saches que je suis tout et rien en même temps,

Le brin d'herbe d'une prairie sèche prête à disparaître,
Car le feu avance poussé par un vent traître,

Une pierre dans les hauteurs glacées d'une montagne,
Que l'érosion de l'eau, du froid et du gel gagne,

Une feuille de papier avec laquelle tu prends plaisir,
A entendre le bruit que je fais quand tu me déchires,

Cette neige si pure qui tombe lors de ces nuits d'hiver,
Que tu fais fondre pour qu'elle devienne noire de terre,

Une plage de sable blanc, ce rêve que l'on nous donne,
Salie par les déchets des vagues après un cyclone,

Un oiseau qui lors de son tout premier envol,
Tête la première prend la direction du sol,

Une petite fleur dont les pétales te servent surtout,
A jouer à "je t'aime un peu", "beaucoup", "pas du tout",

Une larme suicidaire qui emprunte la route,
Des déserts arides du Désespoir qui m'envoûte,

L'ultime battement d'un cœur se demandant pourquoi,
Il est puni d'avoir voulu battre que pour toi,

Une question dont le sens s'interroge,
Sur la raison de notre union que tu abroges,

Le Temps que l'on voit s'écouler inexorablement,
Vers la fin d'une vie si courte et pourtant,

Ils avaient un goût d'infini tous ces moments,
Et tout l'Amour que pour toi que je ressens,

Je suis devenu transparent au point d'être invisible,
Car tu es partie sans un mot, comment est-ce possible,

Me serais-je trompé au point de n'être qu'un inconnu,
Dans ton cœur malgré tous nos instants vécus,

Suis-je juste les mots d'un de ces écrits,
Qui devient célèbre qu'une fois que tout est fini,

Est-ce que je fais parti d'un de ces tableaux,
Que l'on trouve beau rien que pour ses défauts,

Insupportable le Silence règne depuis que tu n'es plus là,
Et tes agréables essences qui imprègnent encore les draps,

Les innombrables regrets que tu as fait naître,
De tout ce que pour toi je ne pourrais plus être,

Tantôt ami, amant, tantôt ennemi, confident,
Bientôt les pleurs, souvenirs et durs moments,

Je suis une étoile arrivée au terme de sa vie,
Supernovae qui signe une dernière fois la nuit,

L'anti-matière car intérieurement je suis vide,
Je m'enlise un peu plus dans ce trou noir avide,

Le Néant c'est tout ce que je veux devenir,
Peut-être qu'ainsi ton absence ne me feras plus souffrir ...
Flavy

Début de la page

Trop de mal peut-être, de mensonges sûrement,
Des pensées qui s'arrêtent sur les pires des moments,
Les espoirs que l'on souhaite, couverts d'Indifférence,
Les mots font défaut pour exprimer la Souffrance,

Une seconde à peine, pourtant, me suffirait,
Pour te convaincre que ce monde est plus-que-parfait,
Juste cet instant pour te dire que c'est magique,
Et que fonde sur tes lèvres un baiser symbolique,

Accorde nous juste une minute d'idylle,
Celle qui dure le temps qu'une étoile file,
Pour qu'un soir d'été ta main me soit destiné,
Sous une lune mielleuse d'Amour et de Beauté,

Une heure parmi les milles autres heures,
Que je comblerai de caresses de bonheur,
De fiévreux désirs j'embraserai ton corps,
Enivrés de plaisirs avides et encore ....,

Combien d'aurores, combien de jours,
D'ores et déjà, Toujours est bien trop court,
Mais prête-moi quand même cette seconde d'Eternité,
Pour que l'instant d'une Vie mon cœur te soit conjugué.
Flavy

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Tout autour de moi le monde devient gris,
Mon cœur ne bat plus, morte est ma vie,
Où est mon soleil, étoile que j'envie,
Mon astre de miel, lune de mes nuits,

Après des jours entiers sans un mot de toi,
Mon âme s'affaire à ne penser qu'à toi,
Je pense au bonheur d'être dans tes bras,
Souffre le désir d'un cœur en émoi,

Non ne t'en va pas, reste avec moi,
Ne me quitte pas, toute ma peine est là,
Intimes requêtes pour toutes les fois ,
Où loin de mon cœur mon amour s'en va,

Existe t'il une Terre, quel est cet endroit,
Et quelle autre vie nous réunira ?
J'envie cette mort qui me délivrera,
Pour refaire ma vie amoureux de toi,

Promets moi l'avenir de cette existence,
Donne moi un espoir pour notre romance,
Je sais qu'il existe le vrai paradis,
Et ce n'est qu'auprès de toi que l'on y vit ...
Flavy

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Ce soir, j'essayerai de ne pas me retourner,
Ce soir ou jamais, il me faudra tout oublier,
Ces dernières semaines se sont étrangement ressemblées,
Elles avaient toutes en commun les mêmes pensées ...

Un soir que le destin a voulu différent,
J'aurais voulu qu'il dure un peu plus longtemps,
Ta voix je ne me lassais pas de l'entendre,
Et tes mots étaient plus doux, plus tendre,

Puis l'autre soir où mon désir s'est fait plus fort,
Ne pas te voir me faisait bien trop de torts,
Je voulais que tu me les dises une fois encore,
Sentir le parfum qui m'accompagnerait aux aurores,

Dès notre première nuit j'avais eu la sensation,
Dans la tiède douceur de notre intime union,
Au-delà du moment, au-delà des passions,
Mon Amour serait intense et profond,

Les soirs se succédaient plus beaux les uns des autres,
Les étoiles filaient dans un ciel qui était le notre,
La mélodie de nos sentiments pour le meilleur,
Jouait le grand air "toujours plus de bonheur",

Il est né en quelques secondes pour le dire,
Le temps de voir mon idéal s'anéantir,
Injections létale dans les restes d'un cœur,
De tes mots au cyanure, ces empoisonneurs,

Depuis ce jour, combien d'années ?
Je sais juste que le temps a passé,
En revanche, ne t'en fais surtout point,
Comme tu le désirais j'en ai pris soin,

Plus que nourrit, gavé à n'en plus finir,
J'ai donné tout ce dont j'ai pu souffrir,
Au bébé Chagrin que tu as voulu m'offrir,
Il a changé de nom vu qu'il a pu grandir :

"Désespoir" a pris sa place dans ma vie,
Le bonheur que tu m'as apporté, tu me l'as repris,
Mais ce soir, j'essayerai de ne pas me retourner ...
Oui ce soir, il me faudra tout oublier ...
Flavy

Début de la page

Aux heures de la nuit où tout le monde s'endort,
Seul présent, le silence au dehors,
Sous les feux de mille étoiles d'or,
Une douce mélodie résonne encore,

Mes songes s'élèvent vers les cieux,
Une longue prière, un vœu pieux,
Une demande suprême adressée à Dieu,
Je supplie de te voir, toi mon être précieux,

Pas une de mes caresses sans un de mes baisers,
Chacun de mes regards, chaque moment passé,
Scellait une promesse comme toutes mes pensées,
Tout ce temps avec toi fiévreusement aimé,

Pourtant j'ai mal de tout ce que je n'ai été,
Souffre dans tout mon moi rejeté,
Me hais d'avoir et de toujours t'espérer,
Pleure mes désirs et mon Amour châtié,

Dans toutes les religions tu es ma seule croyance,
Mon unique passion, ma plus tendre romance,
Du paradis de fleurs, toi seule mon essence,
Reine de mon cœur, Cendrillon de mes danses,

Comme un signe du ciel, une étoile a filé,
J'ai intimement souhaité de te retrouver,
Qu'une infime seconde me soit accordée,
Pour revivre à nouveau près de toi mon aimée,

Aucune de mes lettres, pas un de mes mots,
Les plus amères larmes me feraient tant défaut,
Pour t'exprimer ma peine, mon désespoir même :
Eternel t'est mon Amour, infiniment je t'aime ...
Flavy

Début de la page

As-tu enfin trouvé le bonheur,
Le même dont j'avais si peur ?
Sais t'Il faire sécher tes pleurs,
Lorsque ton ciel change de couleur ?

Tu désirais entendre mes mots,
Je te disais "c'est encore tôt",
T'adresse t'il les lettres qu'il faut,
Celles qui me faisaient tant défaut ?

Tes doutes se sont-ils effacés,
Sur la route de votre destinée ?
Dors-tu le soir sans être hanté,
Par ces cauchemars d'infidélité ?

As-tu franchi les moments durs,
Et son remède est-ce l'Amour pur ?
A t'Il soigné toutes tes blessures,
Avec l'antidote des déchirures ?

Lui accordes-tu toute ta confiance,
Moi qui t'offrait que la Souffrance ?
Comble t'Il le vide et le silence,
Que j'ai laissé par mon absence ?

Est-Il le seul dans tes pensées,
Fais-tu le deuil de notre passé ?
Ton sourire est-il illuminé,
Par l'avenir d'être mariée ?

Je n'ai pas su te rendre heureuse,
Je suis parti l'âme insoucieuse,
Depuis ce jour mon cœur creuse,
Le rendez-vous de la faucheuse,

Je pense à toi à chaque nuit,
Regrette d'avoir tout détruit,
Et je regarde aujourd'hui,
Tu es au centre de ma vie,

J'aimerai tant que tu sois là,
Sentir ta présence auprès de moi,
Je m'interroge : ai-je le droit,
De prendre ton cœur encore une fois ?

J'ai su nourrir l'indifférence,
Et t'ignorer en toute conscience,
N'aurais-je pas du saisir ma chance,
Faire mûrir notre romance ?

Je n'ai pas su …maintenant je sais,
Rien est perdu, ce soir j'irai,
Pour t'avouer mon désarroi,
Et que tu saches : "je n'aime que toi",

Je demanderai mille pardons,
Mille de plus pour la raison,
Mes mains seront encore levés,
Quand mes genoux seront usés,

Mes mots seront mon seul recours,
Pour te le dire jour après jour,
Peut-être en ai-je pour toujours,
Mais n'est-ce pas cela aussi l'Amour...
Flavy

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Quelles seront donc les sensations,
Quels sentiments m'envahiront,
Mon envie sera t'elle ravivée,
Une fois que j'y aurais goûté ?

Je m'interrogeai sur toutes ces questions,
Seuls tes lèvres avaient la solution,
J'espérai tant apporter une réponse,
Mon désir était trop fort pour que j'y renonce,

Je voulais savoir à tout prix,
Si cet instant serait aussi exquis,
Que les promesses de nos regards,
Sur cette plage de sable noir,

Arrêt sur image sur mes souvenirs,
Une brèche du passé vient de s'ouvrir,
Je nous revoie sous les tropiques,
Au bord de mer, temps exotiques,

Petits sourires et jeux complices,
Jour après jour des liens s'esquissent,
Puis d'autres soleils et d'autres mois,
Et aujourd'hui si près de toi,

Nos liens prennent vie : nous nous sommes embrassés,
La porte du passé vient de se refermer,
Elle laisse la place à nos moments présents,
Et à tous les autres que l'on attend,

Mon envie n'est pas la seule ravivée ,
Ma flamme l'accompagne depuis notre baiser,
Telle une étoile à l'aube de sa vie,
Elle brille de plus en plus et s'intensifie,

Mes interrogations ont eu une réponse,
Mais déjà d'autres questions s'annoncent :
Les sensations était celles de l'émotion,
Car elles avaient le goût de la passion ...
Flavy

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Je m'amuse de notre pleine complicité,
Use sur tes lèvres chacun de mes baisers,
J'abuse de mes plus profonds désirs,
Et me laisse aller à tous nos plaisirs,

Ambiance tamisée, sur ta peau fragile,
Je dessine sur les murs des jeux d'ombres habiles,
De mes mains aveugles je cherche la lumière,
Glissant mes doigts sur toute cette Terre,

Je veux tout savoir, surtout tout apprendre,
De mes sens userai de tout ce que je peux prendre,
J'aimerai tout de suite acquérir la sagesse,
Une centaine d'années pleine de caresses,

Sur les cimes majestueuses je ferai une pause,
Contemplerai la vue pour la bonne cause,
J'embrasserai alors les bouts de ce monde,
Savourant longuement chaque seconde,

Humide et sinueuse, tel sera le parcours,
D'une langue désireuse de contours,
Suit donc du regard ses tièdes traces,
Avant que de vives envies ne les effacent,

Plus bas au creux d'une vallée fertile,
Je deviendrai une abeille travailleuse,
Découvrant au rythme d'une butineuse,
Le nouveau monde de ta fleur érectile ...
Flavy

Début de la page

Je ne mérite pas que tu m'accordes ta confiance,
Me pardonneras-tu un jour toutes ces offenses,
Et si la honte de te blesser m'accable de remords,
Je prends le courage de t'avouer tous mes torts,

Le soir précédent nos retrouvailles j'ai fauté,
Une danse a suffit pour que je ne puisse m'en empêcher,
C'est dans ses bras que je désirais passer cette soirée,
Tant d'égoïsme, après tout ce que l'on a partagé,

Après cette nuit, comment ai-je osé, excuse-moi,
Pour toutes ces journées que j'ai passé avec elle,
De temps en temps, je devenais infidèle,
Pourtant, je sais bien que cela ne se fait pas,

De mémoire d'homme, il n'existe pas de punition,
Pour corriger les actes de ma trahison,
Mes baisers devaient avoir un goût de culpabilité,
Surtout ceux qui ne t'étaient pas destinés,

Je suis un calculateur doublé d'un manipulateur,
Une lente torture serait encore trop de bonheur,
Mais puisque j'ai décidé de tout te confesser,
Sache que je viens de goûter au dernier de mes péchés,

Caresser sa peau était comme un jeu innocent,
Plus que pour mon plaisir, j'éprouve des sentiments,
Maintenant à chaque fois que tu voudras me regarder,
Je serais l'être que tu auras le plus détesté ...

Je te promets d'expier mes erreurs passées,
S'il le faut, je ferais pénitence une éternité,
J'accepterai la lourde peine qui puisse exister,
Celle de te perdre ton amour à perpétuité ...
Flavy

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Je ne mérite pas que tu m'accordes ta confiance,
Me pardonneras-tu un jour toutes ces offenses,
Et si la honte de te blesser m'accable de remords,
Je prends le courage de t'avouer tous mes torts,

Dès le premier soir de notre rencontre j'ai fauté,
Une danse a suffit pour que je ne puisse m'en empêcher,
C'est dans tes bras que je désirais passer cette soirée,
Tant d'égoïsme, je ne voulais déjà plus te partager,

Après cette nuit, comment ai-je osé, excuse-moi,
Pour toutes ces journées où j'ai trop pensé à toi,
De temps en temps, je crois qu'on en a le droit,
Mais à ce point, je sais bien que cela ne se fait pas,

De mémoire d'homme, il n'existe pas de punition,
Pour corriger les désirs de ma fougueuse passion,
Mes baisers devaient avoir un goût de culpabilité,
Je les avais si souvent et tant désirés,

Je suis un calculateur doublé d'un manipulateur,
Une lente torture serait encore trop de bonheur,
Mais puisque j'ai décidé de tout te confesser,
Sache que je viens de t'offrir le dernier de mes péchés,

Détrompe toi, ce cadeau est tout sauf innocent,
Plus que pour ton plaisir, si je t'ai offert ce présent,
C'est parce qu'à chaque fois que tu voudras le regarder,
Je serais le seul à être dans tes pensées ...

Je te promets d'expier mes fautes passées,
S'il le faut, je ferais pénitence une éternité,
Je te propose une juste peine pour commencer :
Celle de te chérir et de t'aimer à perpétuité ...
Flavy

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Ange des cieux, vite viens moi en aide,
Porte moi secours, avant que je ne leur cède,
Ne les laisse pas profiter de ma faiblesse,
Désespoir et sa compagne Tristesse,

Ange bienfaiteur, serait-ce un oubli ?
Ta flèche me fait effet jours et nuits,
La tête me tourne jusqu'à la folie,
Mais alors, diS moi pourquoi elle fuit,

N'y a t'il pas eu un partage égal,
Aurais-je reçu une dose illégale ?,
Serait-il possible qu'elle soit immunisé,
Contre ton don de "l'Amour attisé" ?,

Larmes de détresse, elle veut partir,
S'éloigner de moi, je me sens mourir,
Mes plus sincères mots ne peuvent la retenir,
Toutes mes caresses n'ont pas du suffire,

"A chaque moment de silence tu devais entendre,
Mon cœur battre pour toi, pour toi seule Tendre,
Toutes mes confidences faites dans l'espoir,
Que toujours tu serais, l'unique à savoir,

Sans toi je ne suis rien d'autre que chair,
Mon âme s'efface tant elle désespère,
Dans un monde vide de toi, mon corps erre,
Comme ces roches qu'emportent les rivières,"

Gardien du bonheur, accorde moi l'ultime,
Juste une faveur, une prière intime,
Arme encore ton arc d'une flèche de bonheur,
Ne la manque pas, vise la en plein cœur ...
Flavy

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Je t'aime, je ne vois quoi te dire d'autre,
Aucune de mes pensées qui ne soient des nôtres,
Je prie pour que ce ne soit qu'un songe,
J'ai peur du mal intérieur qui me ronge,

Tu me manques, tellement et bien plus encore,
Ces mots ne seront jamais assez forts,
Ne t'en va pas aussi loin de moi,
Je pleure ces jours à venir sans toi,

Parle moi de tous nos moments de bonheur,
De nos longues nuits, de toutes ces heures,
Murmure le tout bas, encore une fois,
Mon cœur ne bat plus que pour cela,

Je désire à nouveau imprégner tous mes sens,
Sentir, le matin, sur ma peau ton essence,
Apprécier encore un peu le goût de tes seins,
Aux heures où nos corps assouvissent notre faim,

Je ferme les yeux pour ne plus penser,
Qu'à toi mon Aimée, chère dulcinée,
Je ressens alors tes si doux baisers,
Serrée contre moi, tous les deux, enlacés,

Esclave du chagrin, torturé de peine,
Privé de mes sens, la Souffrance m'enchaîne,
Mes larmes sont l'Amour que pour toi je sème,
Ma seule espérance est ta délivrance : je t'aime.
Flavy

Début de la page

T'ai-je manqué autant page blanche,
Quelle est la raison de cette revanche,
Peut-être ai-je prononcé ton nom,
Dans un cauchemar trop profond

Ne t'en ai-je point assez donné,
De toutes mes souffrances confiées,
N'étais-tu donc pas rassasiée,
Combien d'autres devront y passer ?

Qu'est-ce que je dois comprendre,
Quels liens veux-tu entreprendre,
Cette encre ne te suffit donc pas,
Que te faut-il en plus de cela ?

Des larmes ? Il ne m'en reste plus,
Mon âme ? Je l'ai déjà vendue,
Qu'espères-tu tirer de mes peines,
Prendre tes forces quand mon cœur saigne ?

Etre invisible n'est pas cette Solitude,
Dans nos existences et ses vicissitudes,
Fantôme intérieur, compagne éternelle,
Toujours présente pour moi, si fidèle,

Maintenant c'est à toi de me dire,
Quels sont ces envies, quels plaisirs,
Eprouves-tu quand tu me vois écrire,
Est-ce pour souffrir, ou pour en rire ?

Parfois il m'arrive d'avoir peur,
Surtout quand j'écris mon bonheur,
J'entend au loin déjà les orages,
Ton autre raison d'être chère page,

Tu crois peut-être que j'ai besoin de toi,
Que dans ma vie il n'y en a que pour toi,
Eh bien sache que tu fais erreur,
J'ai des amis et les meilleurs,

Et si ce soir, c'est avec toi que je suis,
C'est juste parce qu'ils sont tous sortis,
D'ailleurs ils m'attendent, je vais y aller,
Même si tu sais que ce n'est pas la vérité …
Flavy

Début de la page

Coule, coule larme de mon cœur,
Emporte ma souffrance dans tes pleurs,
Va rejoindre l'océan ou`se meurt,
Cris et plaintes de nos malheurs,

Elle avait de beaux cheveux d'indienne,
Longs et soyeux, couleur ébène,
Dix années ont passées depuis,
Je pense être tombé dans l'oubli,

Non qu'à ses yeux, je fus indifférent,
Même si cela aurait peut-être mieux valu,
Mais je n'étais pas fait pour souffrir autant,
Et pendant des ans, sur mes joues il a plu,

Combien de temps ai-je passé,
Combien de rêves t'ai-je accordé,
Chacun leur tour ils se sont effondrés,
Chargés de larmes, tous noyés,

Cette nuit-là je m'en souviens,
Ton visage, tout me revient,
Chaque mot de toi resté gravé ,
Moment unique mon adorée,

Tout près de nous, notre océan,
Et sous ce ciel étincelant,
Je t'ai offert mes sentiments,
A cœur ouvert, comme un enfant,

Je te faisais l'intime promesse :
"- Sans toi ma vie n'est que sécheresse,
Vendue à toi mon âme pécheresse,
Et mon Amour, ma seule richesse,

Où que tu sois, quoi qu'il advienne,
Que toute ma vie je t'appartienne,
Viens dans un rêve, je t'y emmène ",
Alors ma main a pris la tienne,

Dans ton regard cette lumière,
"-C'est tout en moi que tu éclaires,
Veux-tu de moi, je suis sincère ",
Tu me dis " oui, ma vie entière "…,

A toi aussi je te l'aurais donné,
Dans toutes tes flammes endiablées,
Ce pacte quand allons-nous le signer,
Pour qu'enfin me revienne mon aimée ?

Pourquoi ai-je cru, en ton pouvoir,
Pourquoi ai-je vu, en toi l'espoir,
Cet autre soir, où tu m'as tant blessé,
Tu n'as même pas voulu m'écouter,

"- Oublie tout ce que je t'ai dit "…,
Ils résonnent encore dans mon esprit,
Toujours présents, malgré les pluies,
Tes mots amers, que j'ai maudit,

J'y suis tout de même allé,
Dans ce rêve, seul, abandonné,
Et tout ce que j'ai pu y voir,
C'est que sans toi, c'est un cauchemar,

Je suis parti te rechercher,
Dans des contrées inexplorées,
J'ai même soulevé le fond des mers,
Et de mes mains, gratté la terre,

J'ai parcouru monts et vallées,
Nombre de rues, nombre d'allées,
J'ai traversé d'autres océans,
Pour n'y trouver que le Néant,

J'ai tant pensé, j'ai tant pleuré,
Toutes mes nuits, toutes ces journées,
Même mes larmes les plus salées,
Avaient le goût de tes baisers,

Je suis tombé dans les abîmes,
Dans les trous noirs les plus avides,
Et dans ma peur de tout ce vide,
A qui pensais-je, obscur énigme ?

Puis, les déserts m'ont envahis,
Arides moments de repentis,
Expiant la faute de mon Amour,
Qui se suicide jour après jour,

Je t'ai écrit milles et une lettres,
A l'encre de sang de tout mon être,
Toutes postaient l'envie secrète,
De te revoir, enfin renaître,

J'ai su mourir et vivre encore,
L'Amour fané bourgeonne encore,
A chaque été éclosent des fleurs,
Sur l'arbre mort de mon bonheur,

Malgré cet éternel hiver,
Qui a glacé notre univers,
Dans ce monde froid où je me perds,
Secrètement, moi je t'espère,

J'ai essayé, je n'y suis pas arrivé,
Tout oublier comme tu me l'as demandé,
Je ne suis sûrement pas assez fort,
Ou n'ai-je pas fait suffisamment d'efforts,

Je ne sais pas, je ne sais plus,
J'erre quelque part dans l'inconnu,
Que me réserve un avenir,
Dont le passé n'est que souffrir,

Je ne comprend pas car certains soirs,
Il m'arrive pourtant d'y croire,
"Viens dans mon rêve, je t'y emmène,
Pour que demain ta main sois mienne …"

Peut-être ai-je éprouvé de la haine,
Car jusqu'à ce jour mon cœur saigne,
Même si pour toi, je n'en valais plus la peine,
Je voulais juste te dire "je t'aime" …

Parce que mon Amour ne s'éteindra jamais …
Flavy pour Marie-Claire - Martinique Août 1991

Début de la page

Dieu a crée l'Homme à son image,
Mais il a oublié de lui dire d'être sage,
Il a fait de la Femme un chef d'œuvre,
Mais a décidé de la mettre à l'épreuve,

Fruit du hasard ou mauvaise coïncidence,
Si la souffrance rime avec ton enfance,
Je me torture à n'accorder aucun sens,
A toutes ces promesses tenues d'indifférence,

Tant de questions pour autant de vide,
Et l'incompréhension dont nos vies se rident,
Des désespoirs au goût de grande Dame Noire,
Poussant la raison à l'ultime " au revoir ",

Cette nuit là était peut-être trop belle,
Pour que d'un baiser nos destins ne se scellent,
Ou nos espoirs passés suffisamment déçus,
Pour que nos âmes ne se laissent inconnues,

Le maître des cieux n'avait donc pas oublié,
D'amener un petit ange à cette soirée,
Et malgré les ailes qu'il ne t'a pas donné,
Tu as en toi la grâce et la beauté,

Je me surprend à ne plus pouvoir dormir,
De ne pas te voir, presque à en souffrir,
Je repense à toi à n'en plus finir,
Et j'envie ta présence jusqu'au délire,

Mon cœur bat confidence sur confidence,
D'une fidélité totale et sans offense,
De vivre à tes côtés tous les instants,
Du noir au plus blanc des sentiments,

Tous les soirs c'est avec toi que je pars,
Sur notre petite île à l'abri des regards,
Une idylle dans notre cachette secrète,
Que nos enfants rendraient plus tout à fait déserte,

Je pensais que " l'océan se nourrissait des larmes,
Venus des pleurs de nos pauvres âmes,
Et que si de loin notre Terre était bleue,
C'était parce qu'il y avait des gens malheureux, "

Aujourd'hui je sais que si " de loin notre Terre est bleue ",
C'est parce qu'on s'y perd dans tes yeux,
Et si autant d'étoiles illuminent le ciel,
C'est pour que tu te souviennes combien je t'aime …
Flavy

Début de la page

J'ai fait un mauvais rêve ...
C'est l'aurore, le jour se lève,
Quand brille les premier rayons de soleil,
Sur ton doux visage, je m'émerveille,

J’envie alors tout ce qui pour moi est vital,
D’esquisser sur ton corps des caresses matinales,
Pour que chaque jour tienne notre promesse,
Désireux de tes baisers et de ta tendresse ,

T’enlacer contre moi comme d'habitude,
Mais c'est elle qui m'a prise : la Solitude,
Que fait à ta place ce néant, ce vide ?
Mes pensées filent déjà au suicide,

N'entendre qu'un interminable silence,
Et n'avoir a mes cotés plus que la Souffrance,
Où sont passées tes petits mots d'amours,
Comment vivre sans toi tous les jours,

Mon bonheur, mon espoir se refoulent,
Dans des larmes brûlantes qui s'écoulent,
Sur mes lèvres, seules elles demeurent,
Je ressens même cette tiède ... douceur ???

« - Pourquoi pleures-tu ? » ... les yeux hagards,
Je me réveille surpris, sous ton regard,
Tes lèvres se posent a nouveau sur les miennes ...
« - Ce n'est rien, c'est parce que je t'aime ... »
Flavy

Début de la page

Les évènements sont toujours trop récents,
Quand il s'agit de ce que l'on ressent,
Devant l'Amour il nous faut vaincre l'inquiétude,
Dans le Désespoir, faire face à la solitude …

Parfois j'aurais tellement aimé profiter,
D'un petit instant de ces moments passés,
Traverser le temps, remonter les années,
Tout abandonner pour te retrouver,

Des frissons rappellent à mon corps,
Ô combien lui manque son accord,
Un vide subsiste à mes cotés aux aurores,
Des poèmes où tous les mots sont morts,

Les jours n'ont de beaux que tes pensées,
Mes nuits n'ont pour rêves que tes baisers,
Etreignant l'illusion d'une main qui m'était destiné,
Je caresse un visage qui ne m'est plus donné,

… Pourtant ils résonnent doucement encore,
Tes murmures, de ceux qu'on adore,
Les larmes se meurent sur mes lèvres,
Où autrefois toi seule était orfèvre,

Les heures entières où tu souriais,
S'animent comme si un film défilait,
Les pleurs d'enfant qui t'assaillaient,
Des peines passées que je ne connaissais,

Nos mélodies se refont entendre,
Chantées, dansées et consommées,
Les saisons je me plaisais à les compter,
Automnes, printemps, hivers, si tendres,

Les vagues reprennent leur rythme brisé,
Sur cette plage de fin d'été,
Les cieux dévoilant la Voie Lactée,
Je te découvre des voluptés,

Réveil en sueur … alors comprendre,
Conjugaison révolue d' " Aimer " à apprendre,
Plus de mal que mon cœur à se fendre,
Cette nuit là j'avais une âme à rendre,

Loin, beaucoup plus loin, je dois m'enfuir,
Quitter ces lieux, cette vie, les souvenirs,
Quant à tel point la raison fait souffrir,
L'issue de tous les maux est " Partir " …,

Je me rendors lentement dans les ténèbres,
Ultime sommeil que le chagrin rend funèbre,
Je garde, je vois une lueur, l'espoir,
Qu'au bout du long couloir, je pourrais te revoir.
Flavy

Début de la page

Revenaient, reviennent, reviendront encore,
Ces attentes, ces moments interminables de torts,
Ce passé toujours présent dans notre futur,
Des larmes déjà coulées surgissent des blessures,

Je me désespère à croire que "c'est la vie",
Amer de voir à nouveau nos sentiments détruits,
Aux belles nuits de rêves s'en suivent les cauchemars,
Aux jour de ciel bleu succèdent des nuits Noires,

Et cette encre sèche comme du sang à l'air,
Dont la seule rime serait un poignet ouvert,
Des poèmes au goût de déjà vécus,
Ou tous les mots sont synonymes de déçus,

L'ombre pour qui on a tout donné nous hante,
Fantôme d'une romance aux fins d'épouvante,
Une partie de notre vie est restée prisonnière,
Entre les murs dont le Passé est propriétaire,

Tant de rires, tant de pleurs, tant d'Amour,
Partis pour un long voyage sans retour,
Nos sourires, nos bonheurs, tous ces jours,
Perdus dans des souvenirs pour Toujours,

Si seulement ces pages pouvaient être blanches,
Si paroles et promesses n'avaient pu être que franches,
Si la Pluie n'était pas la petite sœur du Soleil,
Peut-être que nos contes ne seraient que merveilles,

Les océans se nourrissent des larmes,
Venus des pleurs de nos pauvres âmes,
Et si de loin notre Terre est bleue,
C'est parce qu'il y a des gens malheureux.
Flavy

Début de la page

Une Vie : trop courte, ce ne sera pas assez,
De tout ce temps qu'avec toi je veux passer,
Certaines fois j'aurais tellement souhaité,
Etre un chat pour dans tes bras être câliné,

J'userai alors de mes neufs existences,
Pour t'emmener au paradis des sens,
Donne moi la main, accorde moi ta confiance,
Que nos destinés soit notre romance,

Ma première vie ne pourra point suffire,
Pour contenir les moments ou je t'admire,
Je ferai en sorte que nos souvenirs,
Ne soient que merveilles et sourires,

Je profiterais de la seconde pour te le dire,
Tous ce que mes mots ne font qu'écrire,
Si tu veux je te le murmurerai tout bas,
Comme un secret que l'on partagera,

Pour ma troisième, j'épouserai d'un long baiser,
Tes lèvres qui m'auront si longtemps manqué,
Je créerais même des fleurs pour symboliser,
Tout ce qu'à mes yeux tu peux représenter,

Encore une pour que dans notre regard,
L'Amour soit le seul que l'on puisse y voir,
J'attiserai la flamme dans tous tes espoirs,
Parce que toi seule brille en ma mémoire,

La suivante, ma main sera sur ton cœur,
Pour le sentir battre de bonheurs,
A deux nous contemplerons l'océan,
Dont la grandeur égal mes sentiments,

Je comblerai la sixième de nuits de désirs,
Enivrerais ta raison de milles plaisirs,
Glisserais sur ton corps des caresses charnelles,
Que nos étreintes rendraient Eternelles,

Un requiem pour la fin de ma septième,
Où tous les mots seront " Je t'aime ",
Je me réincarnerai alors en théorème,
Pour que la réciproque soit la même,

Toute ma dernière j'apprendrai la magie,
Pour faire d'une seconde l'infini,
Alors nous vivrons dans ce paradis,
Et pour Toujours nous serons réunis …
Flavy

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